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 JORDAN ♛ La vie ne se comprend que par un retour en arrière, mais on ne la vit qu’en avant.

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Jordan D. Burridge
Regarde, c'est
Jordan D. Burridge

PROMESSES : 159
METIER : Vendeuse dans une boutique de vêtements pour enfants.
LOCALISATION : Somewhere over the rainbow ?

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MessageSujet: JORDAN ♛ La vie ne se comprend que par un retour en arrière, mais on ne la vit qu’en avant.   JORDAN ♛ La vie ne se comprend que par un retour en arrière, mais on ne la vit qu’en avant. EmptyMer 15 Aoû - 20:34


JORDAN DIANA BURRIDGE




∇ – Informations


Hey, salut ! Alors, moi c'est Jordan Delilah Burridge (mais appelez-moi Jo ou Joey), merci papa et maman pour cette formidable identité. Passons. D'ailleurs ils m'ont dit que j'étais né(e) à Brisbane, Australie, il y a maintenant 20 ans. Oui, je ne te donne pas la date de naissance, je t'épargne le calcul comme ça, remercie moi. En ce moment, je suis mariée, et franchement ça ne me convient pas vraiment. Dans la vie, faut savoir s'emparer des opportunités, d'ailleurs je suis vendeuse parce qu'il faut bien avoir un toit au-dessus de la tête n'est-ce pas ?


∇ – Petite question


Les promesses, ce ne sont rien que de belles paroles. Des mots que les gens balancent comme ça, pour ne rien dire. Des mots. De simples mots qui n'ont aucune signification particulière. De nos jours, les gens promettent tout et n'importe quoi alors qu'ils savent très bien qu'ils ne pourront pas tenir leur engagement. Promettre ne veut plus rien dire. Parce que plus personne n'a de parole ni d'honneur. Je ne crois plus aucune promesse, j'ai été déçue à de nombreuses reprises et je préfère éviter de souffrir à nouveau. Je pars du principe qu'une promesse ne sera pas tenue. Dans le pire des cas, j'ai raison et je savais à quoi m'en tenir, dans le meilleur des cas, je suis agréablement surprise - et ça ne peut faire que du bien. Ainsi, tu l'auras compris, j'appartiens au groupe « What else ? ».


∇ – Racontage.


Chapitre un : once upon time...
Ce jour-là, lorsque mon père est venu me chercher à l’école, j’ai tout de suite su que quelque chose avait changé. Il avait l’air abattu, ses yeux étaient étonnamment gonflés et rougis et la lueur de malice qui illuminait habituellement son regard avait laissé place à une profonde tristesse. Il s’est approché de moi et a cherché ses mots pendant quelques minutes avant de m’annoncer, de la manière la plus douce possible, que ma mère ne rentrerait plus jamais à la maison. Elle était morte. Et je n’avais aucune idée de ce que cela signifiait. À quatre ans, la mort est une notion assez abstraite et on ne sait pas vraiment ce qu’elle implique. J'ai compris bien assez tôt que je ne la reverrai plus jamais et qu'elle ne me prendrait plus dans ses bras pour me rassurer ou me consoler.

Le reste de mon enfance a été étonnamment heureux. Ma mère me manquait (et elle me manque toujours, évidemment) mais mon père a tout fait pour combler le vide qu’elle a laissé en partant. Il s’est très bien occupé de moi et m'a promis qu'il veillerait sur moi pour toujours et qu'il ne laisserait jamais rien ni personne nous séparer. [i]« C'est toi et moi contre le reste du monde »
, répétait-il souvent.

Chapitre deux : happily ever after.
Mon adolescence a été plutôt banale : joies, peines, déceptions, remise en question... La routine, en somme. J'ai toujours bien travaillé à l'école et je n'ai jamais fait de grosses bêtises. La rébellion, ce n'était pas pour moi. J’étais plutôt le genre de filles qui suivent les règles à la lettre, qui ont peur de prendre des risques ou de faire ce qu'elles ont envie de faire parce qu’elles pensent trop aux conséquences de leurs actes pour profiter pleinement de l’instant présent. Mon père s'est remarié quand j'ai eu quatorze ans. Ma belle-mère a emménagé dans notre maison et elle a très vite effacé tous les souvenirs de ma mère. Elle voulait marquer son territoire, montrer qu'elle avait réussi à redonner le goût de vivre à mon père, qu'elle lui était devenue indispensable, contrairement à moi... Et rien que pour cela, je la détestais. Elle me le rendait bien, d'ailleurs. Elle souhaitait fonder une famille et n'a jamais caché qu'elle me méprisait au plus haut point. Parce que je représentais l'ancienne vie de mon père, sa vie d'avant, quand elle n'était pas là, et qu’elle voulait qu'il tire un trait sur son passé. Passé dont je faisais partie. Ma petite sœur, Carrie, est née quelques mois plus tard et mon père s’est peu à peu éloigné de moi, privilégiant sa nouvelle famille. C’est à partir de là que ma vie paisible et heureuse s’est transformée en cauchemar. J’adorais aller en cours parce qu’au moins, là-bas, je n’avais pas ma belle-mère sur le dos. C’est d’ailleurs au lycée que j’ai rencontré Tristan. Tristan. La seule personne qui parvenait à me faire rire quand je n’avais pas le moral, qui était toujours là pour m’écouter, me conseiller, m’encourager… Nous étions très amoureux. Et il n’était pas rare que je m’enfuis de la maison familiale pour aller chez lui lorsque mes « parents » m’énervaient plus que d’habitude.

Nous sommes sortis du lycée avec notre diplôme en poche et mon père m’a convaincue de suivre des études qui ne me plaisaient pas en utilisant l’argument « ta mère aurait voulu que tu fasses des études de droit » Je ne pouvais rien répondre à cela. Argument imparable. Dès qu'il se retrouvait bloqué quand il voulait me convaincre de quelque chose, il utilisait ma mère comme une arme secrète. Il savait que je voulais plus que tout qu’elle soit fière de moi. Et si elle voulait que je fasse des études de droit, alors j'allais faire des études de droit. Même si je n'en avais aucune envie et que je voulais m'orienter vers des études de musique.

Puis il y a eu ce fameux jour, à la fin de l’été. J’avais passé la journée chez Tristan et nous étions installés dans sa chambre, en train de regarder un film qui était loin de me passionner. « Et si on se mariait ? » La voix de Tristan me sortit de mon ennui profond et je levais les yeux vers lui. « Quoi ? » J'avais parfaitement entendu ce qu'il avait dit mais j'étais persuadée d'avoir mal compris. Une sorte d'hallucination auditive, ou un truc dans le genre. Lui, parler de mariage ? Impossible. « Et si on se mariait ? », répéta-t-il, un sourire aux lèvres. J'avais bien entendu. Il venait de me demander en mariage. À sa façon, certes, mais il l'avait demandé quand même. Je ne comprenais rien et soupçonnais une mauvaise blague. « Tu es sérieux ? », demandais-je après quelques secondes de silence. Il hocha légèrement la tête, gardant son joli sourire sur les lèvres. Il dégageait une telle assurance que j'étais décontenancée. « Oui. On s’aime, non ? Et je suis sûr qu’on finira notre vie ensemble. Alors pourquoi attendre ? Et puis… Cela te permettra de t’éloigner un peu de cette baraque de dingues où tu vis. Sérieusement, je ne sais pas comment tu fais pour supporter ton père et l'autre, là. » Après une courte réflexion, j’ai fini par accepter sa proposition. Je l’aimais, j’étais sûre de finir ma vie à ses côtés et l’idée de m’éloigner de cette maison où je ne me sentais absolument plus chez moi était plaisante. Bien évidemment, mon père n’avait pas vraiment sauté de joie en apprenant que sa fille d’à peine dix-huit ans allait se faire passer la bague au doigt par un garçon qu’il n’appréciait pas des masses. Mais pour une fois, je ne l’ai pas laissé décider à ma place. Je ne voulais plus qu’il dirige ma vie. Je voulais faire ce que je voulais, quand je le voulais. Il m'a demandé de choisir entre Tristan et lui, ce qui était probablement la chose la plus égoïste qu'il puisse faire, et j'ai choisi. Il n’avait pas tenu sa promesse puisqu’il avait laissé sa nouvelle femme s’immiscer entre nous, je n’avais donc plus aucun compte à lui rendre. Ma belle-mère avait gagné : je ne faisais plus partie de sa vie et il pouvait pleinement se consacrer à sa nouvelle famille, sans se soucier de mon avenir.

Chapitre trois : i'm not a princess, this ain't a fairy tale...
« Qu’est-ce que tu veux manger, ce soir ? » Je haïssais cette phrase encore plus que je haïssais ce que nous étions devenus. Deux ans de mariage. La routine nous avait rattrapés et elle avait littéralement massacré notre couple. Nous ne partagions plus rien, ne nous parlions pratiquement plus – sauf pour nous disputer ou nous reprocher des tas de trucs sans intérêt. Nous étions des étrangers. « J’ai déjà mangé », répondit-il d’un air détaché sans décrocher les yeux de son stupide jeu vidéo. Je soupirais. Je détestais quand il faisait ça. Il était vingt-et-une heure et il venait à peine de rentrer de je-ne-sais-où, sans avoir pris la peine de m’informer que je ne devais pas l’attendre pour dîner. Il était entré dans notre appartement comme si de rien n'était et s'était rué sur la télévision pour jouer à ses jeux stupides, sans prendre la peine de me dire le moindre mot. Comme d'habitude. « Tu aurais pu me prévenir », dis-je avec agacement. Il daigna enfin me regarder. Si ses yeux avaient eu le pouvoir de me tuer, il l’aurait fait sans hésiter. « Qu’est-ce que ça aurait changé ? » Son ton las m’exaspérait. Étais-je la seule à vouloir faire des efforts pour sauver le peu qu’il nous restait ? Je n’avais pas envie de me retrouver divorcée à vingt ans. Je ne supporterai pas à un échec de plus. « Rien, tu as raison... » J'étais restée incroyablement calme mais la détresse dans ma voix trahissait à quel point j'étais épuisée par cette situation. Je n'avais même plus envie de me disputer avec lui. Lui faire des reproches ne changerait rien, de toute façon. Cela ne me rendrait pas plus heureuse pour autant. Tristan avait promis de m'aimer et de me chérir jusqu'à ce que la mort nous sépare mais il n'avait tenu que quelques mois. Aujourd'hui, j'avais l'impression de n'être là que pour lui faire à manger (quand il voulait bien manger chez nous, bien sûr), laver son linge et faire le ménage. Ou pour le rassurer et l'encourager quand il doutait. Mais j'avais l'impression que ses sentiments s'étaient envolés et que l'amour qui nous unissait autrefois n'était plus réciproque. Encore une promesse brisée. Je n'étais pas une princesse et ma vie n'était pas un conte de fée. En plus de perdre ma mère et mon père (dans des circonstances différentes, certes, mais cela revenait au même au final : ils n'étaient plus dans ma vie), j'étais en train de perdre mon mari. Si on continuait comme cela, l'éloignement aurait raison de notre "couple" et je n'avais pas envie que cela arrive.

∇ – Terminus.


Bon, ok, en fait, je suis Lowly, et je suis réellement âgé(e) de 22 ans, d'ailleurs, je suis une fille . J'ai découvert JTP via moi-même, et je dois avouer que je l’aiiiiiiiiiiiiiiime. Je serai présent(e) au moins 5j/7, avec mon sexy avatar qui est Victoria Justice. Voilà voilà, j'ai un dernier mot à dire et ce sera que je vous aime, voilà.



∇ – code bottin


Code:
[b]Victoria Justice[/b]


© image par tumblr


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