Regarde, c'est PROMESSES : 67 AGE : 41 METIER : Prof d'italien.
| Sujet: ◢ De battre mon coeur s'est arrêté. Jeu 16 Aoû - 23:28 | |
| DAISY PICCOLI-BRUNDAGE∇ – Informations Hey, salut ! Alors, moi c'est Daisy Graziella Piccoli-Brundage, merci papa et maman pour cette formidable identité. Passons. D'ailleurs ils m'ont dit que j'étais né(e) à Milan, Italie, il y a maintenant 29 ans. Oui, je ne te donne pas la date de naissance, je t'épargne le calcul comme ça, remercie moi. En ce moment, je suis Officiellement mariée, officieusement célibataire, et franchement je n'en peux plus. Dans la vie, faut savoir s'emparer des opportunités, d'ailleurs je suis professeur d'italien parce qu'il faut bien avoir un toit au-dessus de la tête n'est-ce pas ? ∇ – Petite question Les promesses. Je n'attends honnêtement plus rien d'elles, ce ne sont plus que des paroles, du vent. Ça rentre par une oreille, ça ressort par l'autre. Je le vis bien, du moins j'essaye de me persuader que je le vis bien. J'y ai cru longtemps, je me suis accroché à l'idée que si l'on me promettait, si l'on m'assurait quelque chose, et bien cela allait s'avérer vrai. Cela concerne les autres, les proches en particulier. Ceux dont les moindres faits et gestes vous affectent directement. Par contre moi, j'ai toujours tenu les miennes, parce que je sais que ça peut faire mal. C'est aussi la raison pour laquelle je ne promets jamais ou presque. Ainsi, tu l'auras compris, j'appartiens au groupe What else ?∇ – Racontage. « Souriante. Aimante. Maternelle. Joviale. Attentionnée. Sincère. Grande gueule. Fidèle. Nerveuse. Patiente. Rancunière. Drôle. Forte. Bavarde. Coquette. Dévouée. Économe. Expressive. Fière. Ironique. Tendre. Taquine. Vive. Sensible, malgré tout. C'est comme ça que je décrirais ma soeur. » Delia, 27 ans.Jeudi 16 août 2012, 00h48, dans mon lit. Techniquement on est vendredi matin, mais pour moi tant que je n'ai pas dormi, on n'est toujours pas passé au lendemain. Je n'aime vraiment pas me confier en général, je garde toujours mes problèmes pour moi. Au pire du pire, ma sœur et ma meilleure amie sont là pour me tirer les vers du nez, mais je déteste me plaindre. Non pas que je considère que le fait de se confier soit un acte de faiblesse, pas du tout. C'est juste que moi, c'est la sensation que ça me donne. Mais cela ne s'applique qu'à moi hein. Je suis bizarre, je sais. Je n'ai pas ouvert le carnet dans lequel je suis en train d'écrire depuis la fin de mon adolescence, quand tout allait encore bien. Quand je n'avais aucune idée que la tournure des événements allait prendre, quand je voyais encore la vie en rose, naïve comme j'étais. Quand je croyais encore aux promesses. Je souris souvent sans raison apparente quand je repense à mes années lycée, chez moi à Milan. Je me revois avoir des dizaines de plans pour ma vie future. Je me voyais à Hollywood, rédactrice en chef du Vogue italien, styliste chez Chanel, épouse de basketteur américain, grande avocate ou business woman. Je voyais la gloire et les paillettes partout, je pensais qu'il suffisait de vouloir pour avoir. En soit, ça n'est pas complètement faux, je n'étais juste pas destinée à cette vie. Je me suis faite une raison. Pourquoi ne pas avoir essayé de faire aboutir l'un de mes rêves ? L'amour. Comme quelqu'un a dit, « l'amour a ses raisons, que la raison ignore ». Et puis tout ce qui vient après. Le mariage, les enfants. Ah, les enfants. Mes bébés sont ma seule fierté, je peux me dire que j'ai au moins réussi à faire deux choses correctement dans ma vie. Pour comprendre mon histoire, il faut que je remonte à ma naissance. On le ressent pas à l'écrit -évidemment-, mais j'ai un léger accent lorsque je parle anglais qui vient tout droit d'Italie. J'en suis une de pure souche. Mon nom de jeune fille est Piccoli, Daisy Graziella Piccoli, Brundage est venue s'y ajouter une vingtaine d'années après que je sois née. Je dois avouer que j'ai eu une belle enfance, entourée de mes deux parents et de mes deux sœurs. Il y avait toujours de l'ambiance à la maison, toujours. Il s'y passait toujours quelque chose, que ce soit bon ou mauvais. Au moins on ne s'ennuyait jamais. En même temps avec quatre femmes à la maison, papa avait de quoi s'occuper. Je suis née le huit juillet 1982, soit le même jour que ma mère, à vingt-cinq ans d'intervalle. On habitait un chic appartement dans le centre ville, où chacun avait sa chambre, bien qu'on y passe peu de temps. Même si on passait notre temps à se chamailler, et parfois à rire, on était tout le temps ensemble mes sœurs et moi. Souvent au salon, ou même dans l'une des chambres. Il n'était d'ailleurs pas rare que l'on s'y endorme carrément, à trois serrées dans un lit. C'était la belle époque. Mon père était le cliché de l'italien macho, mais dans le dos de ma mère uniquement. Elle le menait à la baguette, c'était drôle à voir. Côté études, disons que j'étais dans les normes. On était trois filles, avec trois avis bien divergeant sur les études. Delia était une artiste, une vraie de vraie. Elle était passionnée d'art, de photographie et j'en passe. Demi était la studieuse, celle qui pleurait si elle avait en dessous de quinze sur vingt. On se foutait toujours d'elle avec Delia, il fallait avouer qu'elle avait une tête à mourir de rire quand elle était contrariée. J'ai toujours eu des facilités en langues, j'ai toujours méprisé tout ce qui avait un rapport avec les sciences. Les maths, tout ça, très peu pour moi. Sinon, il va être deux heures du matin et je ne dors toujours pas, ça doit faire un an que je ne dors plus la nuit. J'y viens. J'ai eu quelques relations par ci, par-là, mais rien de bien sérieux. Sans me vanter pourtant ça n'était pas les occasions qui manquaient. J'ai perdu ma virginité parce que je voulais la perdre, je ne me souviens même pas du nom de celui avait qui je l'ai perdue, shame on me. Bref. J'ai obtenu mon bac avec une mention, et puis j'ai rencontré Mason. Je crois que c'était ce qu'on appelle « love at first sight », je n'ai pas compris ce qui m'arrivait, lui non plus d'ailleurs. On s'est tourné autour pendant un petit moment, et on a fini par se mettre ensemble, mettant nos craintes de côté. Le problème -parce qu'il y avait un problème-, c'était qu'il devait repartir, rentrer chez lui au bout de quelques mois. Par chez lui, il voulait dire l'Australie, genre à l'autre bout de la Terre. Au début j'ai refusé catégoriquement, terrifiée à l'idée de m' éloigner autant de mes proches. Et puis il m'a fait son regard là, m'a embrassé, et puis j'ai fini par céder. Je suis folle. C'était vraiment l'amour fou, il y avait peut-être même trop d'amour. Il était mon meilleur ami et mon amant à la foi. On s'est fiancé puis marié, on a fait les choses « dans l'ordre », bien qu'on était jeunes. J'ai eu Daniela à vingt et un ans, et Daine à vingt-quatre ans. Je ne regrette absolument pas de les avoir eu tôt, au contraire même. Remarquez que tous les prénoms commencent par un D chez moi, c'est de famille et j'ai trouvé qu'il serait marrant de la faire perdurer, au grand dame de Mason, à l'époque. Les années passaient, les enfants grandissaient et tout allait pour le mieux. Et un jour tout a basculé, je n'ai rien vu venir. Je suis rentée du travail, les enfants étaient encore à l'école, et je suis allée faire un tour dans notre chambre. L'horreur. Il était censé être de repos ce jour-là, donc je m'attendais à ce qu'il soit là. Personne. Je me suis d'abord dit qu'il devait être sorti pour faire une course, ou bien tout simplement s'aérer. Mais non. Je me souviens de cette lettre posée sur notre lit, celui où je me tiens en ce moment même. "Je suis désolé, désolé. Je vous aime." J'ai cru que le monde venait de s'arrêter de tourner, je suis passée par plusieurs phases. J'ai d'abord cru à une grosse farce, avant de me rendre à l"évidence. Il était parti, juste parti, me laissant seule avec deux enfants. Je me souviens m'être précipitée dans la penderie, il n'y avait plus rien, ou presque. Il avait l'air d'avoir tout planifié. Plusieurs sentiments se mélangeaient, la tristesse, la haine, la rage, la rancune, le mépris, le sentiment d'abandon. Et les enfants alors? Oh, les enfants. Je multiplie mensonges sur mensonges, je fais mon possible pour les épargner alors que moi même je ne sais comment tenir. Plus d'un an qu'on est sans nouvelles, plus d'un an que je ne sais plus que penser.. J'aimerais m'en sortir. Je ne sais juste pas comment faire.∇ – Terminus. Bon, ok, en fait, je suis Adèle/Bee, et je suis réellement âgée de 17 ans en fin d'année, d'ailleurs, je suis une fille. J'ai découvert JTP via Bazzart, et je dois avouer que c'est de la bombe, bb. Je serai présente tous les jours, avec mon sexy avatar qui est Sophia Bush. Voilà voilà, j'ai un dernier mot BOUYACHAKAAA. ∇ – code bottin - Code:
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Dernière édition par Daisy Piccoli-Brundage le Dim 19 Aoû - 19:33, édité 25 fois |
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Regarde, c'est PROMESSES : 205 METIER : trader LOCALISATION : quelque part à Brisbane
| Sujet: Re: ◢ De battre mon coeur s'est arrêté. Jeu 16 Aoû - 23:35 | |
| BIENVENUE SUR JTP ! Ton pseudo c'est de la bombe, et il colle parfaitement à Sophia en plus, alors Et puis ton titre, OMG Bon courage pour ta fiche et n'hésite pas en cas de besoin |
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Regarde, c'est PROMESSES : 159 METIER : Vendeuse dans une boutique de vêtements pour enfants. LOCALISATION : Somewhere over the rainbow ?
| Sujet: Re: ◢ De battre mon coeur s'est arrêté. Ven 17 Aoû - 8:16 | |
| La belle Sophiiiiia Excellent choix, elle est magnifique Bienvenuuuuue parmi nous, jolie Daisy Bon courage pour ta fiche et n'hésite pas si tu as la moindre question |
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